Attendu qu’en ce qui concerne la hauteur du dédommagement, il est évident que les désagréments que provoque un déménagement imprévu ne peuvent, le plus souvent, être indemnisés que de manière forfaitaire; que, d’ailleurs, dans l’hypothèse où la rupture fautive eût été due à la locataire, le contrat prévoyait pour la bailleresse le droit à l’équivalent de trois mois de loyer, alors que son préjudice réel, c’est-à-dire le chômage immobilier, aurait pu être plus ou moins important; que rien n’ayant été prévu pour l’hypothèse qui se produisit, la demande de la même somme, faite par la locataire, peut être accordée ex œquo et bono (1.264,26 euro);Op welke wijze hebben ze de schade begroot?